Notre travail consiste à répondre aux questions suivants   :

Est ce que les réseaux ont répondu aux objectifs prédéfinis ?

Est-ce qu’ils contrôlent efficacement les zones à risque ?

Est-ce qu’ils couvrent l’ensemble des zones d’exploitation ?

Comment ont-ils évolué à l’échelle du temps ?

Est-ce qu’ils étaient correctement suivis ?

Est-ce que le nombre de piézomètres qui le constituent est suffisant ou excessif ? Où faut-il le renforcer dans le premier cas, et où faut-il le réduire dans le cas contraire?

Est-ce que la fréquence des mesures est suffisante pour décrire la variabilité temporelle des informations recueillies ?

En d’autre terme : est-ce que les réseaux piézométriques et de qualité sont optimums ?

Si non comment peut-on alors  optimiser ou rationaliser ces réseaux ?